Les amants de la guillotine
Le PointAu XIXe siècle, la guillotine ne chômait pas. La justice était sans pitié pour les criminels. Les têtes roulaient par centaines. C’est le tragique destin de certains de ces hommes et femmes condamnés à la peine capitale que ce podcast évoque. C’est l’abbé Bruneau qui jette dans un puits son curé pour le voler. C’est la Sophie qui se débarrasse de ses nouveau-nés en leur plantant une aiguille dans le cœur. C’est Vodable qui viole et tue la fille de sa maîtresse. C’est encore Jules-Isaac qui arrache la langue de sa grand-mère avant de l’assassiner. Des crimes misérables et sordides qui leur vaut la peine de mort. À l’époque, la justice est expéditive et sans appel. Le plus souvent, l’exécution suit le crime de quelques mois. Le spectacle attire la foule, adultes et enfants mêlés. Chacun épie avec gourmandise, le moindre signe de faiblesse du condamné devant la « Raccourcisseuse ». Certains pleurent, d’autres plastronnent. Leurs cadavres sectionnés en deux sont enterrés à la va-vite dans le carré des condamnés à mort du cimetière local ou encore finissent entre les mains des étudiants en médecine. Oyez, oyez, le destin tragique des assassins du XIXe siècle !Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.